Déjà que je me demande comment mon héroïne va survivre avec la langue coupée (spoiler : mal), voilà que maintenant, je fais des cauchemars à force d’écrire sur le Wendigo T.T
Entre deux insomnies, je me surprends à vérifier si ma porte est bien verrouillée… pas que je sois parano, mais si un monstre mangeur d’âmes devait débarquer, ce serait forcément chez moi. (Mon propre cerveau est une menace plus crédible, mais bon.)
Bref, merci d’être là pour me rappeler que je ne suis pas seule dans ma descente aux enfers littéraire. Promis, la suite arrive… si le Wendigo ne me mange pas avant.